......Clysia.......

Clysia est une ville immense avec comme toute ville d'autrefois, un coeur historique et les quartiers tout autour. Comme toute ville, on retrouve les quartiers chics, d'autres plus modestes , et certains précaires dans les bidonvilles.
A vous de choisir où vous habiteriez.
Clysia est une ville vieille de 300 ans même si c'est assez jeune finalement pour une ville. Le maire a pour ambition d'agrandir sans cesse sa ville afin d'en faire une métropole d'équilibre. Il manipule certains propriétaires afin d'avoir leur terres mais hélas beaucoup cèdent.
Clysia est renommée pour sa mixité, on peut facilement voir certains métissages, il y a une multitude d'associations, le style des habitants est parfois audacieux vous pouvez facilement rencontrer des gens au style extravagant.
Si votre personnage est originaire de cette ville il est alors Clysantin(e). Tout metier existe ici (enfin sauf paysans bien sûr). Votre personnage peut faire parti de certaines organisation, peut posséder une boutique s'il le désire, plusieur maisons, une association qu'il a créé, un musée...libre à vous de choisir. Il peut acceder à tout rang social à condition de ne pas en changer trop souvent. Il peut aussi avoir un familier à condition que ce ne soit pas un dragon ou un animal encombrant surtout en ville.
A Clysia, il y a une influence futuriste, vous ne pouvez pas avoir un carosse avec des chevaux.
Si vous souhaitez résider dans cette ville, veuillez poster un message après celui-ci. Amusez vous bien !

Une mouche génétiquement modifiée vollait dans une salle de classe. Intringuée Zanoa guettait l’insecte les pieds sur la table, affalée sur sa chaise qui était appuyée sur la table occupée par un autre élève.
La queue soyeuse de Zanoa s’enroulait comme seul un chat savait le faire. La mouche se posa. La jeune féline constata qu’elle avait trois ailes. Mais cela serait bientôt rêglé… Un coup de griffe, la pauvre bête se retrouva mutilée !
La cloche sonna et bien entendu Zanoa n’avait rien écoutée du cour. D’ailleurs elle décréta qu’il était tant de finir sa journée de cour car il ne lui restait seulement que deux heures de philosophie suivies d’une heure d’anglais et d’une autre de mathématiques. Elle quitta alors le lycée publique par une issue non reservée à cet usage, à savoir les conduits d’aération qui menaient jusqu’au toit. La demoiselle s’étira et fit quelques pirouettes souples, rapides et élégantes avant d’atérir sur le toit d’en face. En matière de gymnastique, Zanoa battait tous les records, même si elle n’assistait à aucun cour de sport enseignant cette pratique. Zanoah était trop débordée pour s’accorder cela… Vous ne voyez pas en quoi ? je vous rassure, moi non plus…
Elle posa pied sur terre et longea quelque rue à l’affut de quelques gourmandises à se mettre sous la dent. Les oreilles dressées, le nez attentif à toute occasion, voilà qu’elle repère un poissonier ! Mmh délicat… son père lui avait donné de l’argent pour qu’elle s’achète un livre scolaire mais la tentation était trop… tentante… et puis papa pouvait lui redonner de l’argent de toute manière ! en vendant sa décapotable volante, marchant avec la condensation de l’air, possédant le distributeur de smarties, il a certainement retirer un certain bénéfice puisqu’il l’a vendu plus chère que ce qu’il a acheté… en plus papa a acheté une nouvelle baignoire en or massif à maman mais la compagnie n’a pas intégré le robinet incrusté de diamant… Du coup elle a récupéré la baignoire sachant qu’elle s’en sert pour décorer sa chambre. Donc par cet acte généreux, puisqu’elle a débarassé sa mère d’une telle charge elle peut alors s’offrir une gaterie !
Elle courru en dirrection de la boutique qui se ferma…
Frustrée, Zanoa donna un coup de pied dans la porte qui se fissura légèrement puis tourna des talons.
Elle prit un taxi qu’elle ne paya pas, pour rentrer chez elle et trouva dans sa chambre, un journal. Il s’agissait des dernières nouvelles, une organisation de plus en plus virulente faisait des échos et rebondissait sur Clysia sans trop qu’on sache s’il s’agissait d’une menace ou d’un présage bienveillant…

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Au même moment Zanjurô toujours l'épée à la main était entré au sein d'une école d'épéiste,
en un rien de temps il était devenu l'élève le plus fort de cette école, et n'ayant pas d'argent il habitait la petite cabane au fond du parc de l'école qui servait autrefois de débarra et où était entreposé tout les vieux equipement d'entrainnement, il travailler dur pour que le maître de cette école ne le jete pas à la rue, il faisait tout le nettoyage de l'établissement, la salle d'entrainnement et la maison de son maitre et sa famille, il était également en charge des soins des plantes et arbustes, du gazon et des équipements utilisé lors des entrainnements... Il pensait très souvent à ses amis et à sa famille laissé dans son village natal, mais il savait qu'il ne pourrait jamais y retourner sauf s'il possedé un passe-droit pour pouvoir ne serai-ce que les voir encore une fois...
Son maître vint le voir alors qu'il faisait ses corvées et lui donna le journal de la journée, et il lui dit de faire attention car ses gens ne semblaient pas avoir de bonnes intentions, mais il lui dit aussi de ne rien faire qui puisse le mettre en danger ou qui pourrai attiré l'attention sur lui...
Zanjurô jura qu'il ne ferai rien de tout cela, et surtout qu'il protègerai toutes vies à commencer par la sienne et celle de son maître, il était important pour lui de protéger ceux qui lui était cher aujourd'hui, au vue de ceux qu'il avait perdu avant sa venue dans cette ville

La pluie battait à présent les fenêtres de la luxueuse chambre de Zanoah. Cette dernière regardait les gouttes glisser le long des vitres, percutant d’autres afin de devenir plus volumineuses et sombrer par leur poids imposant.
La chambre rose de la jeune créature reflétait l’ombre des gouttes sur les murs.
La cloche sonna. C’était l’heure du repas. La cuisinière avait du préparer un bon poulet dont la jeune fille se régalerait.
Elle sortit de sa chambre et traversa les couloirs, la queue s’enroulant autour de son poignet. Tandis qu’elle franchissait l’escalier elle entendit une vitre se briser. Elle tourna vivement la tête, les oreilles dressées, attentives à tout bruit.
Il y avait une odeur suspecte. Elle fit un bond et se retrouva sur la rampe de l’escalier, à genoux, les deux mains accrochées à la barre. Elle descendit prudemment, marchant sur la moquette. La vitre qui donnait sur le couloir était cassée, et le projectile, une chose noire et crevassée laissait échapper un liquide douteux. Il était mousseux et s’étalait par terre. La moquette au contact de cette substance semblait fondre. Le parquet juste en dessous se craquelait. Stupéfaite, la demoiselle regardait cette étrange chose mousseuse qui grignotait dangereusement le sol.
Celui-ci trembla et se craquela jusqu’à Zanoah qui prise d’un élan fit un saut habille et se retrouva une nouvelle fois sur la rampe. Elle eut un grondement comme seul un chat a le secret.
Le bois de la pièce s’effondra alors et s’abattit dans l’étage inférieur. Effrayée Zanoah sauta et atterrie sur les planches. Il n’y avait personne dans la pièce, qu’elle chance.
Ce fut un tel grand fracas que toute la demeure se précipita dans la pièce. Tous dévisagèrent la jeune fille l’air hébété.
- Je vous préviens, cette fois ce n’est pas moi !
La chatte raconta alors ce qu’il s’était passé. Elle comprit alors que c’était une tentative d’attentat. Quelqu’un en voulait particulièrement à sa famille. Mais qui ? Etait-ce les pauvres des bidonvilles qui avaient une dent contre eux à cause de leur immense fortune qui auraient pu nourrir la terre entière ?
Ou peut-être était- ce de la pure paranoïa, mais l’organisation dont parlent les journaux, qui agissent aux quatre coins de la ville, peut être, était-ce eux les responsable…
- Y a pas intérêt pour eux, grogna la demoiselle, je me suis bousiller mes chaussures à cause d’eux ! Encore une chance que je les ai en double !
Elle tourna à présent ses talons tous abîmés et quitta la pièce. Son père avait ordonné suite à cela que chaque membre de la famille eusse un garde du corps, et Zanoah vit les fenêtres de sa demeure se faire poser un double vitrage. Elle était à présent escortée à l’école et ne pouvait plus se permettre de « finir » ses cours avant tout le monde car on était sans cesse derrière elle, sur chacun de ses pas…

Invité

Zanjurô aimé se promené les nuits et plus encore lorsqu'il pleuvait car il n'y avait personne, ou presque, dans les rues... il volait du côté des cartiers chics, il y vît un incident, des gens jeter quelque chose dans l'une des demeures, et un grand bruit s'en était suivi.
Il était resté en retrait comme le lui avait suggéré le maître de l'école où il habitait, mais il fut remarqué lorsqu'il s'envola pour partir et tous ces hommes, à peu près une dixaine, partir en courrant dans différentes direction mais l'un d'eux semblait le suivre sans trop de mal alors que Zanjurô volait à vive alure, alors il n'avit plus qu'à se battre puisqu'il ne pouvait fuir...
Zanjurô descendi des cieux et mit les pieds au sol humide et avec un regard sombre et la tête baissé il dit à son poursuivant :

-Puisque je n'ai aucun moyen de fuir, j'imagine que je suis obliger de vous tuer...
Si vous ne m'aviez pas suivi nous n'aurions pas eu à en arriver là!

Alors il abatit son épée sur son poursuivant et il y eu des bruits de métaux s'entre-choquant durant cette nuit. L'autre homme aussi possèdé une épée, de facture simple mais solide et souple... Le combat avait duré un court moment, car les deux bretteurs s'était enfuis à l'approche d'agents de terrain sans doute alerté par les bruit provenant du combat des deux hommes, ils patrouillaient sur tout le terrain. En rentrant chez lui Zanjurô avait des sueurs froides, il venait de rencontrer quelqu'un qu'il n'avait pu battre, une personne ayant vue son visage et qui pourrai le reconnaitre, une personne pouvant mettre en danger l'école toute entière. Zanjurô n'avait pas vue son adeversaire mais il savait qu'il serai en danger tant qu'il ne l'aurai pas mis hors d'état de nuire, lui et probablement le groupe qu'il avait vue cette nuit... Cette nuit allait encore faire changer sa vie...

Zanoa descendit de la limousine volante qui se gara devant le portail de la demeure Efandra. Deux hommes s’affairèrent de lui ouvrirent la porte. Celle-ci de mauvaise humeur descendit en écrasant scandaleusement le pied d’un de ces deux hommes. La victime feignit un sourire, un peu crispé, sans doute par la douleur.
La jeune fille s’avança jusqu’à chez elle et entendit alors la voix de son père.
- Un combat, cette nuit ? Devant chez nous ? Très bien, je vous félicite, mais veuillez faire des recherches sur cet homme avec des ailes, il se pourrait qu’il en veuille à notre famille…
L’adolescente tendit l’oreille, attentive. Comme aucun discours ne reprenait, elle céda à l’appel du ventre. Un poisson grillé aux amandes ! Oui, ce n’était pas l’heure de manger une telle friandise, mais Zanoa avait menacé de s’en prendre au meuble de la luxueuse maison auxquels sa mère tenait tant. Pourquoi s’attacher à de vulgaires objets, alors que quand on a de l’argent on peut s’en payer des dizaines semblables à cela ? Des meubles de familles, rien de plus… C’était ridicule !
Dans la salle à manger, alors qu’on lui apportait ces mets succulents, le mur s’illumina, et le visage d’une journaliste apparut.
- Arg ! grogna le félin. Je déteste qu’on allume la télé quand je mange !
Justement personne ne l’avait allumée, c’est que l’information devait être important
- A tous les citoyens de Clysia, ne sortez pas de chez vous pour vous rendre au centre ville, il est à présent dévasté. Des centaines de créatures s’en prennent aux magasins les plus côtés de la ville, on croirait qu’il y ait une véritable lutte des classes ! L’image s’estompa sur les murs. Zanoa s’étrangla avec une arrête. Quoi ?! Les magasins les plus chics dévastés ?! Arg, si elle trouvait tous ces pauvres, elle les broierait dans un mixeur en or !
Cependant, l’affaire était grave, son magasin de chaussure était menacé de laisser aux pauvres les moyens de se les offrir gratuitement ! Hors de question.
Elle abandonna sa friture et couru dans sa chambre pour récupérer son sac à main dernier cris. La porte de sa chambre se ferma soudainement à clé et à double tour. Un bruit lourd lui fit comprendre que derrière la porte une grille était tombée. Un post-hit attaché à la porte inscrivit alors.
« Ma chérie, cette fois-ci essaye de ne pas fuguer, papa et moi prenons les mesures pour tout arranger. Ne déchire pas tes rideaux, sinon on t’en achètera à petit budget ! Je t’aime, Maman »Traîtres… Ils avaient préparé le coup ces ingrats… Zanoah se défoula alors sur son arbre à chat.
La situation semblait tourner… La classe bourgeoise commençait à se faire marcher sur les pieds et Zanoa n’aimait pas ça. Elle avait vécu dans la richesse avant sa naissance. Vous vous demandez comment. Sa mère décrétant qu’une femme enceinte, c’était démodé, la jeune chatte fut conçue avec les gênes de ses parents, enveloppée dans une sphère fragile et extrêmement chère. Quand cette formidable bulle se rosit, on sut alors que le bébé tant attendu serait une fille. Sa mère la nomma Zanoa, un nom très chic à l’époque. Puis le caractère du chaton, au début si aimable et si calme, s’est changé en un vilain petit démon, capricieux, susceptible et fou à lié… Mais pour compenser avec cela elle était très intelligente voire rusée, avec un charme dévastateur mêlé à celui du félin et de la femme, souple et élégante. Ce soir là, la demoiselle s’allongea dans son lit et s’endormit en ronronnant. Zanoa était la plus douce quand elle dormait… Elle ne criait pas, elle ne griffait pas. Elle souriait de temps à autre, ou versait une larme. La nuit était le seul moment où la jeune diva laissait ses émotions les plus intimes envahir son petit être.

Invité

Zanjurô était parti faire des courses pour l'école de nouveau équipement pour s'entrainner, pour cela il avait lui même été dispensé d'entrainnement, mais le magasin d'équipement se situé au centre ville, et dès l'arrivé du jeune homme, il y eu un soulèvement du bas peuple...
Dans un premier temps, Zanjurô ne compris pas ce qu'il se produisi devant ses yeux, c'était trop soudain puis il s'éffondra.
Il avait recu un coup à la nuque et une pierre se trouvai à ses côtés, il ne savait qui la lui avait jeté, mais il ressentait la présence de l'homme qu'il avait affronté la nuit précédante, l'aurai t'il retrouvé?
Rien n'était moins sûr, mais Zanjurô décida malgrès tout de prendre de la hauteur afin de voir un peu mieux la situation...
En effet parmis la foule se trouvaient une dixaine d'hommes encapuchonnés, vétue de manière sombre... Et l'un d'eux tenait une épée, que le jeune homme n'eut pas de mal à reconnaitre, aucun doute il l'attendait, mais Zanjurô n'avait pas pris son épée pour allé faire les achats de l'école, d'ailleurs il n'aurai jamais pensé qu'il en aurai eu besoin pour une telle occasion...
Il décida dès lors de s'enfuir, mais pour aller où?
Et là il ne vît pas un homme le suivre mais trois, le premier était celui qu'il avait combattu la veille et les deux autres possédaient des armes différentes du premier, un trident et des saï... il avait bien sûr appris a ce battre sans arme mais contre trois hommes, il savait que c'était peine perdu...
Alors que tout lui semblait perdu, il vît son maître qui courrait vers lui, kuro namida à la main et il avait dans son dos sa propre blade il semblait avoir préssenti le danger et dès son arrivé le maître lanca kuro namida à Zanjuro puis trancha un arbuste pour géner le passage aux pousuivant et cria à son élève :

-Décidement on ne peut pas te laisser seul, je t'envoie faire des courses et tu ramène des ennuis... vraiment...

Puis le maître et l'élève se retournèrent pour faire face à leurs adversaires...

L’homme regarda Zanjurô avec un air fourbe. Il se régalait d’avance de la peine qu’il lui ferait subir.
Il prit soin de verrifier si son masque tenait bien en place sur son visage. Il reconnaissait la figure de cet homme ailé si téméraire, trop téméraire. Cela lui convenait, ce combat serait sans merci.
Qu’allait il entreprendre ? Faire quelque geste de son sabre maudit avant de l’abattre sur son crâne ? S’avancer et affaiblir son adversaire avant de l’éventrer ? Mmh… des idées noires circulaient vivement dans la tête de l’homme masqué… Il sortit son sabre et le positionna derrière son oreille. Il entama quelques pas, et d’un bond arriva en volte face derrière Zanjurô. Il avait le sourire aux lèvres bien que le jeune homme ne puisse s’en apercevoir. Il fit un gest précis avec tant de rapidité pour positionner son arme à l’horrizontale, juste en dessous de son regard.
Il ricanna intérieurement, puis de façon très bruyante presque diabolique tellement qu’il était provocateur.
- J’espère que tu as dis adieux à ton grand père (il désigna le maître de Zanjurô) parce que tu vas mourir ! C’est triste, hein ?
Il reprit son rire sournois et cruel et reprit sa course en fonçant sur le jeune homme, bien décidé d’en faire qu’une bouchée. Il se prépara à une quelquonque attaque en ajustant son bras face à l’arme souple et fine de Zanjurô. Arrivé à sa hauteur, il leva son arme très haut au niveau du visage du jeune homme…

Spoiler:

Zanoa ouvrit les yeux. Elle était blottie dans les couvertures couleur prune, sentant la fraise… Elle se leva en s’étirant avec souplesse, s’asseya sur le bord de son lit. Elle leva une jambe devant elle qu’elle lècha de sa langue rapeuse. Elle procéda de la même manière pour la deuxième jambe et ainsi que les autres parties de son corps.
Elle fit quelque pas dans sa chambre. Sa main s’aisissa une fiole de parfum qu’elle aspergea sur sa gorge.
Elle se vêtie enfin chaudement, la neige tombait à petit flocon. Elle détestait tout particulièrement l’hiver pour cette raison, la neige, la pluie, berk ! Trop d’eau ! C’est pour cela qu’elle prenait des cours particuliers, afin que le professeur aille dirrectement chez elle, à ses petits services.
Bien entendu, pour s’acheter les bottes derniers cris, même la neige n’arrêtait pas la jeune demoiselle dans son élan…
Elle entendit le bruit d’une grille derrière sa porte se retirer. On lui ouvrait enfin après une nuit d’emprisonnement dans sa chambre !
Elle sortit précipitement de ses appartements et se rendit dans la cuisine en exigeant une souris rotie au miel.
La situation semblait s’être rétablie, enfin du moins dans le quartier chic de Clysia. Zanoa précipitait tous les domestiques dans la dépression, ses parents à la crise de nerf et ses enseignants à la démission. Quoi de plus normal, pour un chat, de se venger quand ses géniteurs l’ont enfermé cruellement pour qu’il naille pas faire sa petite sortie nocturne !
Arg ! Décidément elle leur en voulait, mais la vengeance sonnerait bientôt à le porte.
Tiens d’ailleurs la voilà qui se manifeste cette sonnerie, le majordome ouvre, on annonce que la nouvelle Ferrari volante de papa a été brûlée chez le garagiste, avant d’avoir pu être expédiée à son acheteur ! Voilà qui était fait, finalement, ce regroupement du bas peuple avait fait une bonne action en s’accageant le centre ville. Enfin bon, faut pas oublier non plus son prestigieux magasin mis en état de cendre …
L’après midi elle sortit en ville, dans une voiture blindée, avec deux gardes du corps. Elle constata alors les dégats causé la veille… C’était à pleurer !
Zanoa sortit de la voiture, ses gardes du corps la suivant comme des chiens. Elle se dirrigea à l’endroit où se dressait jadis une multitiude de magasin et de restaurant chic. Sous un débris elle y trouva une jolie petite bottine quelle serra fort dans sa main avec haine. Ses griffes se plantèrent férocement dans l’innocente petite chaussure, la tête baissée, ses yeux bruns dorés se métamorphosèrent en ceux d’un félin brulant de colère… Si ces gens avaient le malheur de croiser la jeune femme, ils se retrouveraient bien mal… mmh est-ce que les rayures écossaises sont assez tendances sur un visage maudit à tout jamais ? A tester…

Invité

Zanjurô bloqua la lame de son assaillant, et le repoussa le plus loin possible d'un coup de pied dans le ventre. Alors que l'homme masqué était repoussé, zanjurô attaqua les deux autres hommes qui l'accompagnaient et ceux ci semblait uniquement se défendre, c'est alors que le maître de zanjurô intervint et de sa lame perfora l'avant bras du premier homme ce qui le destabilisa, ce dont se servi le jeune homme ailé pour l'abattre tout en repoussant le second d'un coup d'aile.
Zanjurô était gracieux est fort, il ne se laisserai pas avoir même s'il devait tuer pour cela, et protéger son maître semblait également être une raison valable pour tuer.
Zanjuro fut néanmoins surpris de la facilité avec laquelle il se débarrassait de ses adversaires, alors même que son maître s'était joins à lui, un tel écart de force semblait le marquer, puis il fût prit d'une violente douleur, il s'éffondra au sol ruisselant de sueur et haletant comme s'il s'était battu pendant des heures.
Il ne voyais plus rien d'autre que le sol devant son nez, et n'entendait plus que les tintement de lames qui s'entre choquaient qui se mêlaient au bruissement de sa respiration sacadé par la douleur...

Puis il se souvint de son tatouage...
Le sceau de scellé le plus abouti qu'ai pu créer sa caste, le sceau anti force.
Ce sceau a pour but d'empecher son porteur d'utiliser ses réels capacitées.
Le porteur ayant atteinds les limites d'utilisation de sa force se retrouverai vidé de celles-ci.

c'est ce qui se passait, et zanjurô maudit le jour ou les villageois le lui avait apposé...
il était au sol impuissant, et réalisait la gravité de ce moment de faiblesse...

Zanoah reniffla bottine… finalement elle ne valait pas le coup, ce n’était pas du cuir…Elle lacha dédaigneusement la malheureuse chaussure.Tiens un bruit… La jeune fille se redressa et tendit l’oreille. Des bruits de lames… Probablement une lutte. C’était peut être les délinquants qui avaient dévastés le centre ville… oui pas de doute, ils étaient trop pauvres pour se battre avec de vrais armes de guerre, alors il s’agissait des voyoux qu’elle avait vu aux actualités ; Il était temps de leur botter les fesses à ces criminels ! Zanoah jeta un coup d’œil furtif en dirrection de ces gardes du corps. Trop occupés à faire la garde, ils ne s’occupaient plus de leur protégée. L’occasion était si belle, la demoiselle s’enfuya en dirrection des bruits. Elle sauta sur un balcon avec vivacité, attrappa une goutière et monta sur le toit. Rapidement elle sauta au dessus d’une impasse pour se retrouver sur le toit d’un imeuble.
Les bruits l’attiraient à présent vers l’est de la ville. Elle tourna à droite se mit à quatre pates et redoubla en vitesse pour obtenir un élan parfait. Elle bondit vers l’imeuble d’en face se rattrapa au bord, reprit sa course. Il y avait effectivement une lutte en bas. Un jeune homme ailé accroupit au sol, quelques assaillants et un monsieur qui semblait défendre le jeune homme affaiblit. Dans ce monde Zanoah ne voyait pas bien qui était l’enemi qui était l’ami. Le garçon aux ailes était habillé modestement, c’était peut être lui le malfaiteur. Quoique les assaillants semblaient sans pitié… Elle remarqua un homme masqué et ceci sucita un brin de lucidité. Un homme masqué ne se cache pas toujours pour de bonnes attentions. Reflexion faite, Zanoah descendit à la hauteur de ses jambes et s’arrondit un peu le dos. Elle se propulsa et tomba en faisant des tours réguliers sur elle-même pour retomber sur ses pates comme tout félins l’auraient fait. Elle avait attérie en plein milieu de la bataille, dos au jeune homme affaiblit. Elle se redressa avec élégance.
– Puis-je connaître l’auteur de ce carnage ? fit elle avec mépris face à l’homme masqué.

L’homme masqué regarda la jeune effrontée. Qu’elle était charmante avec ses airs de bourgeoises et ces manières d’adolescente en colère. Il fit un sourire mais bien entendu, la jeune créature ne pouvait le voir.

– Je comprends ta colère, répondit-il, quel homme censé oserait saccager une ville gorgée d’histoire ? Il s’avère que ces deux là aient commis ce terrible massacre digne des plus barbares.

L’infâme menteur prit une pose théâtral pour augmenter l’effet de gravité de la scène. Il brandit alors son sabre maudit en l’air toujours dans la peau du comédien.
– J’allais anéantir ces deux moins que rien avant que vous n’arriviez. Non pas que votre charmante présence m’importune, ce n’est pas ce que j’insinue, mais parce que je souhaitais occire ces deux lâches qui s’en prennent au patrimoine de la ville également à ces habitants les plus distingués.

L’homme prit la main de la jeune fille qu’il emmena jusqu’à son masque où était dessiner une bouche hideuse et émit le son du baiser.
Il lâcha sa main et continua à regarder la ravissante créature qui faisait à présent la moue.

– Je suis un noble serviteur de Clysia et j’apporte la paix à l’aide de mon épée. Je vais vous demander de vous écarter que j’assassine ce criminel.

Il posa sa main sur l’épaule de la jeune fille pour la pousser mais il semblerait que ce geste ne soit pas des plus bienvenus…

– Je comprends ta colère, répondit-il, quel homme censé oserait saccager une ville gorgée d’histoire ? Il s’avère que ces deux là aient commis ce terrible massacre digne des plus barbares.

L’homme masqué fit une pose grostesque et blablabla et vas-y que j’en mette plein la vue… ce type était décidément un acteur raté… et maudit en plus de ça, aucune classe dans le choix du costume !
Soit, la demoiselle resta sur ses gardes tout en regardant le jeune homme et l’autre plus agé qui l’accompagnait.

– J’allais anéantir ces deux moins que rien avant que vous n’arriviez. Non pas que votre charmante présence m’importune, ce n’est pas ce que j’insinue, mais parce que je souhaitais occire ces deux lâches qui s’en prennent au patrimoine de la ville également à ces habitants les plus distingués comme vous.

Oh non voilà qu’il l’ouvre encore celui là ! Caresse bien dans le sens du poil on ne sait jamais ! L’homme masqué lui prit la main qu’il déposa sur une bouche dessinée sur le masque en émettant le son du baiser.
A cette vision, Zanoah fit une grimace que ce dernier du apercevoir. Bon on repassera sur la séduction parce que là c’est zéro tout rond… Mais comme si ça n’avait pas suffit il ajouta une dernière réplique avant que les nerfs de l’adolescente lachent.

– Je suis un noble serviteur de Clysia et j’apporte la paix à l’aide de mon épée. Je vais vous demander de vous écarter que j’assassine ce criminel.
Il posa sa main gantée sur son épaule afin de la pousser, certes délicatement, mais ce geste déplut à la demoiselle. Elle gronda comme un chat en colère et sortit ses griffes. Elle ota la main du comédien et quelques morceau du gant partirent en lambeau.

– Qui que vous soyez vous ne pouvez vous prétendre comme étant en droit d’assassiner des hommes même s’ils ont détruits à feu et à sang mes boutiques préférées. Je les défendrais jusqu’à ce que les forces de l’ordre arrivent.

L’homme masqué regarda son gant déchiqueté. La demoiselle avait le sang chaud.

– Qui que vous soyez vous ne pouvez vous prétendre comme étant en droit d’assassiner des hommes même s’ils ont détruits mes boutiques préférées. Je les défendrais jusqu’à ce que les forces de l’ordre arrivent.

Il remarqua également qu’elle n’avait pas sa langue dans la poche…Quoiqu’il en soit il ne pouvait lutter contre elle, ce serait échouer dans ses plans. Il était préférable d’égorger son ennemi un autre jour loin devant les yeux doré du félin en colère.

– Je vous lègue à présent ces deux énergues humaines et souffrez que je m’absente…

Il fit une courbette en dirrection de la jeune fille et s’en alla en faisant tournoyer sa cape. A l’angle de la rue, il tourna et ota son costume. Il se dirrigea vers les quartiers luxueux vêti comme un domestique.

– Ah cette sale gosse ! Elle a corrompu tous mes plans ! Mais ça ne se passera pas comme ça, tant que je l’ai sous le bras, elle est comme un jeton sur mon jeu…

Il entra dans la demeure de la famille Effandra par une porte dérobée et continua son service ni vu ni connu. Il apporta le journal ainsi que le café à Monsieur et lava le linge de Madame…

Alors que Maria rentrait chez elle après avoir bien gagner sa journée, le contrat avait été parfaitement exécuté. Elle marchait vite car la pluie qui avait commencer à tomber, elle ne supportait pas l'eau. Elle avançait d'un pas rapide quand un homme en noir l'a bouscula, la jeune femme aurait pu le tuer la devant tout le monde vu son état de rage vis à vis de la pluie. Mais elle se retint, ce n'était pas le moment d'avoir des problème avec les flics ou autre. Elle passa devant une ruelle quand l'odeur du sang réveilla ses instincts. Elle tourna la tête vers le lieux d'où provenait le doux parfum, un jeune homme était au sol mal en point....
- Une proie facile, la chance....
Mais elle aperçu également la jeune fille et le vieil homme qui étaient à ses cotés. Elle s'approcha du groupe pour pouvoir peut-être mangé un petit casse-croute.
- Tout vas bien ? Demanda t-elle....

Avant même que quelqu'un ne réponde, Maria c'était précipité sur un homme tout de noir qui avait le bras droit transpercer, elle lui sauta à la gorge et lui vola tout son sang. La jeune femme semblait revivre..... Après son bon repas, elle se retourna vers les 3 autres personnes... Il lui restais un léger filet de sang au coin de la bouche

– Je vous lègue à présent ces deux énergues humaines et souffrez que je m’absente…

C’est ça va t’en ! Non mais d’où il vient ce type ? Zanoah porta à présent son attention sur une odeur nouvelle. Elle tourna la tête. Une femme splendide apparue sous ses yeux. Une femme avec des crocs. C’était louche. Bon d’accord Zanoah aussi en avait, mais elle n’avait pas de filet de sang dans la bouche.

- Tout va bien ?

Que répondre ? Elle n’inspirait pas confiance à la jeune fille. Zanoah prit un air fier et répondit :

– Oui il y a eut une bataille et JE m’en occupe, vous pouvez vous en aller tranquillement madame la v…

La quoi ?! Pas de panique, les chauves sourris c’est bon après tout, ça croque sous la dent parrait-il, comme leur congénères. Rien que d’y penser Zanoah avait faim très faim… C’est vrai qu’elle n’avait pas eut son quatre heures comme prévu. Non il ne fallait pas penser à cela. Il ne fallait pas jouer au chat et à la souris, ce n’était pas le moment à cela. Zanoah devinait les intentions de la créature qui tout comme elle était lubrique. Un chat griffe et une chauve sourris mort. Tous deux est potentiellement un criminel mais l’un d’eux est impartial. C’est le cas de Zanoah… Zanoah défend ce qui pourrait avoir un interêt à ses yeux, et celon son humeur elle décide ce qu’elle veut faire, peut importe l’avis des autres. Zanoah n’a d’yeux que pour celui qui lui offre le confort.
Zanoah aimait jouer avec le feu, c’était peut être l’occasion rêvée. Quoiqu’il en soit, la jeune fille ne sortira pas ses griffes sans avoir été attaquée.

– Il se passe des choses étranges à Clysia, des choses navrantes… tu es une femme toi aussi, tu pourras comprendre ce que je ressent de voir de super édifices de la mode se retouver sous des décombres… Il serait regrettable que ces choses se renouvèlent non ?

- Je suis navré pour toi, mais je me contrefiche de tes boutique de mode. Par contre, il serait préférable de faire quelque chose pour votre ami, la vue d'un être faible réveille mes instincts, et me donne un envie de tuer.... Alors suivez moi !!!

Elle s'approcha du garçon puis siffla.... Une multitude de chauve-souris noires arrivèrent, elles se rassemblèrent autour de l'ange et se glissa sous son corps avant de le soulever.... Maria fit un signe et le garçon avança, il flottait sur un brouillard noir.
La jeune femme était plutôt calme, la pluie s'était arrêter ce qui lui avait rendue le sourire. le nuage s'arrêta devant elle, elle observa le garçon.....

- Plus d'énergie....

Maria se coupa le doigt avec une de ses canines puis appliqua un peu de son sang sur les lèvre de l'ange. Le liquide rouge s'infiltra dans l'organisme de l'homme...

- Cela devrait lui rendre un peu d'énergie, il a besoin de sommeil et surtout de manger.

- Je suis navrée pour toi, mais je me contrefiche de tes boutiques de mode. Par contre, il serait préférable de faire quelque chose pour votre ami, la vue d'un être faible réveille mes instincts, et me donne un envie de tuer.... Alors suivez moi !!!

Oooh mais qu’est-ce qu’elle a dis ? Elle se fiche des boutiques… Non d’abord ce ne sont pas des boutiques mais plutôt des monuments ! Et ensuite c’est qui cette p… euh cette folle qui se permet de lui donner des ordres. Non, non et non ! Zanoah n’était pas chatte à répondre aux lubies des tyrans.
La jeune femme s’était approchée du jeune homme affaiblit et se mit à siffler. Une multitude de chauve souris apparurent et soulevèrent le jeune homme jusqu’à ce qu’il fut allongé sous un nuage de chauve sourris. Ces bêtes là ne faisaient qu’éveiller l’appétit de la jeune demoiselle qui se lèchait les babines. Mais ce n’était pas le moment de se gaver de souris vollante mais plutôt de sauver son honneur.

– Ecoute je ne sais pas d’où tu viens ni qui es tu pour me donner des ordres mais saches que quoi que tu fasses tu devras souffrir que je ne veuilles répondre unniquement à mes envies. Tu peux emporter ce type, je ne suis pas certaine que ce soit ce type là qui a détruit le centre ville. Enfin fais ce que tu veux j’ai autre chose à faire !

Zanoah tourna les talons et s’en alla chez elle en rentra dirrectement dans sa chambre en sautant à la fenêtre. Elle se regarda dans la glace. Mmh pas très propre la robe. Allez au bain ! Zanoah se plongea dans un bain à l’elixir de rose de luxe. Elle ferma les yeux et fit un grand sourrire. Elle repensa à la jeune femme vampire qu’elle avait croisée. Elle ne connaissait pas son nom mais savait qu’elles ne pourraient s’entendre. Toutes deux maitresses de la nuit, toutes deux instinctives et indomptable, toutes deux femme fatales. Savoir qu’elle n’était plus toute seule ça l’ennuyait. Mais savoir qu’elle aura toutes fringues rien que pour elle cela l’enchantait. Zanoah fit un radieux sourire dévoilant ses jolis petits crocs.

Elle sortit de son bain en faisant jaillir des extraits de roses à divers endroits de sa salle de bains. Pas grave, le domestique fera le ménage ! en parlant de lui, elle se verrait bien le faire courir pour lui cuisiner des brochettes de souris, la journée lui avait donné faim voire très faim alors pas question d’agacer la demoiselle !

Elle se rendit dans la cuisine et frapa la table avec ses couverts. Comment ? Plus de souris ?!
– Très bien infâme domestique, je vais te refaire la tapisserie de ta chambre !
Le domestique lui répondit que de toute façon il n’y avait pas un coin à déchirer, elle s’était déjà bien occupée de le faire la semaine dernière… Ah le bougre ! plus de souris plus de tapisserie ! La vie est si dure quand on est richissime ! Zanoah se contenta de dévorrer un poulet cuisiné avec soin.
Le domestique passait et repassait devant elle. Elle eut un présentiment.

– Cette façon de marcher me rappelle quelque chose, attends un peu que je mette la main dessus et je te fais expulser… murmurra Zanoah avant de partir dans un fou rire de peste.

Maria vu la jeune chatte toute énervé qui partis sans se retourner... La jeune femme sortit de la ruelle suivit du garçon et de l'ancètre. Ils avancèrent jusqu'a un vieil immeuble, là, l'être de la nuit fit se disperser le nuage de chauve-souris et attrapa l'ange. Elle le soutennu puis entra dans l'appartement de Maria. La pièce n'avait aucun couleur, les murs sale était juste couvert d'article de journaux parlant de fait divers. au centre, une table où était éparpillé une pile de papier sur des homme important, il y avait même des enquète de police sur les gangs et les familles de mafieux. Au fond un lit simple finiolait le décore, les draps était recouvert d'une légère couche de poussière, preuve que la jeune femme ne dormait pas trop dedans.
Maria posa l'ange sur le lit, puis déclara au vieil homme :

- Il a besoin de sommeil, donc il va dormir un peu ici, des qu'il ouvrit les yeux, il faut qu'il mange. Derrirère cette porte, il y a de quoi manger.

Elle montra du doigt une porte en métal, une de ces portes qui sont utilise pour les chambre froide.
Maria s'assit sur une chaise près de la table et se mit à lire les papier devant son nez.

Le rideau fut tirré et la porte se referma doucement. Les rayons du soleil caressaient le joli petit minois de la femme chat. Cette douceur sur le visage donna le sourrire au félin. Elle se leva, sa couverture en soie retomba et fit découvrir son corps nu. Sa queue soyeuse caressa le bout de ses lèvres tendres.
La la la la ! Zanoah faisait des vocalises tout en se vêtissant d’une nouvelle robe noire SUPER courte et ULTRA moulante qu’elle s’était achetée avec la carte banquaire de son père. Oh ! ce n’était qu’une petite dépense de rien du tout ! Et puis qu’il aille se faire voir celui là, il n’avait qu’à la lui acheter au lieu de jouer les pères autoritaires !
Aujourd’hui lycée. Quel était le premier cour ? Voler du poisson chez le cuisinier scolaire ou planquer les clés du casier du prof de maths ?
Soit, Zanoah fera les deux pour quelques petites fourberies. Elle offrait du travail aux surveillants, elle est pas belle la vie ? Les plus riches donnent de quoi vivre aux pauvres, c’est ainsi que l’on se sent supérieur…
Après avoir battu son reccord en heures de colle que Zanoah sécha, bien évidement. Elle ne voulu pas rentrer en limousine, une balade nocturne s’imposait il lui fallait sa dose de liberté et d’escalade à travers toute la ville.
Elle sauta sur un rebors de fenêtre pour se retrouver sur l’imeuble d’en face puis d’un saut calculé elle attérissait sur le toit d’un gratte ciel. C’est là qu’elle s’arrêta, elle s’asseya pour contempler la lune. Sa robe en plus d’être provocatrice était d’une grande praticité pour l’escalade en ville. Certes je ne dis pas le nombre de personnes qui doivent se rincer l’œil et les femmes qui explosent la joue de leur mari à coup de jalousie, mais sa robe permettait à notre jeune minette de faire tous les mouvement les souples imaginables.
Une chauve souris passa devant elle. Miam, cette fois elle ne se retiendra pas ! Skriff ! la malheureuse bête se retrouva à terre avant de faire un voyage dans la bouche de l’impitoyable prédatrice en robe sexy. Son repas terminé elle se releva avec un rire d’enfant sournois.

– Hi, hi, hi ! J’espère que je n’ai pas mangé la femme vampire !

Zanoah fit quelques galipettes joyeuses et continua à faire son escapade nocturne.

Après avoir tant lu et relu les rapports de police, Maria se leva et sorti de l'appartement, laissant le vieux et l'ange encore endormi. Habille avec un col-roulée noir sans manche et un mini-short gris, une paire de botte en cuir remontant jusqu'aux genoux. La jeune femme se balada dans la ville à la recherche d'une proie, alors qu'elle scrutait la beauté de la lune, un bruit imperceptible pour le commun des mortels, l'a fit se retourner. Une bande de 4 homme mal habillée, surement venant d'un gang s'approchèrent d'elle en sifflant et en la matent. Maria ne supporta pas longtemps leur comportement. Elle attrapa la gorge de l'un d'entre eux et planta violemment ses croc dans son coups et le vida de son délicieux sang. Les 3 autres garçons commencèrent à sortir des couteaux qui brillait sous la lumière de la lune.

- On va bien s'amuser, déclara l'un des homme.
- Tu peux pas savoir à quel point. Répondit Maria un souris au lèvre.

Puis elle disparut des yeux de ses agresseurs pour réapparaitre derrière, là elle planta ses ongle dans la carotide d'un gars, son sang gicla sur les 2 autres. Couver de se liquide rouge, la jeune femme avait encore plus envie de les tuer. L'un des garçons prit peur et essaya de s'enfuir. Maria le rattrapa pour le tuer en lui extirpant le cœur d'un seul coup. Elle le dévora son les yeux du dernière homme encore en vie.

- Monstre............. MONSTRE !!!! Cria ce dernier.

Maria lui sauta dessus en le vida lui aussi de son sang. Après son repas, elle appela ses chauve-souris pour qu'elles dévorent les humains, ne laissant aucune trace derrière elle.

Zanoah sauta en bas d’un immeuble massif pour se retrouver à quatres pates. Elle avait faim et s’asseya sur des marches. A croire que la chauve souris de toute à l’heure n’avait pas suffit. Un chat se frotta contre elle. Une dixaine d’autres félins vinrent se blottir contre elle. La demoiselle attirait aisément la présence des chats car ceux la considéraient comme leur maîtresse.
Cette relation venait d’une légende lointaine d’une tribue à présent disparue. Il s’agissait d’une mythologie où les dieux se faisaient la guerre entre eux et chaque dieu avait son rival. La déesse Féline vénérée surtout par les femmes, avait de nombreux ennemis à savoir le dieu Serpent, la déesse Mygale et bien d’autre encore. Cette déesse était la plus provocatrice de toutes. Elle était vénérée car elle incarnait certaines facettes de la féminité à savoir la grace, la sensualité, la délicatesse, et pour certaines la souplesse et l’agilité. Elle avait un caractère bien marqué avec une soif permanante pour la liberté, elle était extrèment intelligente et rusée, indépendante, imprévisible impulsive et instinctive. On raconte que les chats se blotissaient sur toute représentation de cette divinité. D’après la légende il y avait des élues rares auquels la déesse accordait à une femme de devenir une femme chat afin qu’il y ait toujours sa trace sur le monde par une sorte de « profète ». Vous vous dites à ce moment là, Zanoah, un prophète ? La bonne blague ! Ceci dit ce n’est qu’une légende mais quoiqu’il en soit il y a beaucoup de similitudes avec la réalité. Notre jeune amie la connaissait bien cette légende et se disait que si elle était l’élue c’est parce qu’elle avait le plus de classe dans tout Clysia. Elle murmura quelque chose à l’oreille d’un des chats qui partit aussitôt. Il revint un moment plus tard avec un oiseau dans la gueule qu’il offrit à la demoiselle. Cette dernière le dévora en un rien de temps. Avec une plume elle se caressait le bout du menton en ronronnant.
La nuit était douce et silencieuse mais un hurlement dérangea ce confort luxueux.

– Monstre............. MONSTRE !! hurla la voix d’un homme horrifié.
– Qu’est ce que c’est encore !? grinça la jeune chatte.

Elle se leva et partit rapidement voir de quoi il s’agissait. Elle apperçue un nuage de chauve sourris dévorrer des carcasses. Elle s’asseya et contempla le spectacle en balançant ses jambes d’avant en arrière.
– Je crois que j’en connais l’auteur… murmurra la demoiselle d’un air tranquile.

Maria se rendait dans un magasin d'anciens objets. Chez l'antiquaire, elle rencontra un vieil homme, un asiatique à en juger à ses yeux bridés, sa tenue traditionnelle chinoise rendait la théorie de la jeune femme vraisemblable...

- Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Demanda il avec son accent.
- Je viens voir Mr Yan Chô. Dit lui que Silver Blade est là.

Au nom que lui avait donnée la créature de la nuit, l'homme s'empressa d'aller dans l'arrière boutique prévenir son patron qu'elle était présente. Silver Blade était le nom qu'on lui avait attribué, la raison était simple, la jeune femme combat toujours avec un katana en argent, la lame était extrêmement t dangereux pour tous les vampires et autre créatures vivant dans les ténèbres et la froideur de la nuit. Bien sûr, Maria ne craignait rien vu que c'était un Dampire. Une créature mi-femme, mi-vampire qui n'avait pas à souffrir à la vue du soleil ou à l'argent.... Pire, les Vampires, les avait en horreur.

Le petit chinois revint et demanda à son invité de bien vouloir le suivre. Maria s'exécuta. Elle arriva dans une pièce à la décoration magnifique, de beaux paravents, de vase Ming.... Derrière un important bureau en acajou, dans un fauteuil en cuir, un petit homme au fine moustache et au long bouc était assit, Mr Yan Chô était le nouveau client de Maria.....

Zanoah rentra chez elle dés l’aube. Elle ferma sa porte à clé afin qu’on ne vienne pas la déranger et se glissa dans son lit.
Aussitôt elle s’endormit et se mit à faire un joli petit ronronnement régulier. Le week commençait avec une bonne grasse matinée. Un domestique sembla pendant un moment marteler la porte avec rage mais Zanoah n’entendait pas, elle dormait avec un casque sur les oreilles mais paraissait se moquer du malheureux employé car elle affichait un grand sourire.
Cependant cette tranquillité ne dura pas, quelque chose de lumineux apparut dans la chambre suivit d’un tremblement. Zanoah se leva d’un bond ôta son casque et sauta au dessus d’un placard en bois. La fenêtre s’était brisée et ce qui semblait être le projectile était posé à terre sécrétant un liquide douteux, rongeant la moquette jusqu’à faire des trous énormes où il était à présent aisé de passer dans la pièce de l’étage en dessous.
Zanoah fit un miaulement plaintif. La dernière fois qu’elle avait vu cela c’était dans le couloir prés de l’escalier. Il semblerait que quelqu’un lui en veuille personnellement et cela coïncidait étrangement avec la destruction des édifices luxueux au centre ville.
Elle entendit ceci dit la voix horrifiée de plusieurs personnes, à commencer par celles de la demeure mais également dans le quartier. Le plafond craquela légèrement au dessus de la tête de la jeune chatte qui fit un bon pour tomber sur son lit puis sauter sur la poignée de la porte qui céda aussitôt. Horreur ! Le sol du couloir était également couvert de ce liquide dangereux qui rongeait tout sur son passage. A un endroit de la pièce, le plafond s’écroula et cela provoqua une fissure menaçante sur ce qui restait. Les meubles de l’étage au dessus tombaient eux aussi dangereusement. Il fallait faire vite, la porte sur laquelle elle était assise fondait à une vitesse impressionnante et le restant de l’étage menaçait de s’écrouler sur la demoiselle. Elle s’élança contre le mur d’en face pour revenir un autre de manière assez vive ce qui lui permit de rester en hors du sol. Elle voyait le parquet se rompre à son tour. Une fenêtre face à elle pouvait lui servir d’issue de secours. Elle s’agrippa à des barreaux avec un post hit collé dessus.

« Ma chérie,

Ne m’en veux pas petit ange mais ce soir il est hors de question que tu t’échappes encore, il y a des voyous qui pourraient te faire du mal. J’ai fais condamner cette fenêtre comme toutes celles de la maison en espérant que tu ne parviendras pas à fuguer cette fois encore.

Je t’aime mon bébé,

Maman. »

Il y a des jours où on se sent franchement seul… Comme si c’était le moment de condamner toutes les fenêtres alors qu’on nous attaquait ! Il aurait peut être fallut faire patrouiller un hélicoptère de surveillance ou mettre des vigils, quelque chose comme ça, ainsi la maison serait sécurisée. Zanoah pourrait ainsi sortir et revenir sans aucun problème car à elle toute seule elle demeurait une arme de destruction massive.

– Très bien je n’ai pas le choix ! grinça la jeune fille. Rendez vous là haut !
Zanoah plia ses jambes et sauta comme si elle était posée sur un ressort. Elle se retrouva à l’étage supérieur dans le troisième salon où elle tomba violement sur une table basse en verre qui se brisa. Toutes les fenêtres étaient cassées par le même projectile. Zanoah se releva tant bien que mal et circulait dans les endroits où le liquide ne coulait pas. Elle se retrouva face à une cheminée auquel elle s’agenouilla et escalada jusqu’au sommet. Ce qu’elle ne savait pas c’est que à la surface un dôme empêchait toute intrusion. Zanoah faillit se décourager. Elle se glissa jusqu’en haut. Il se révéla qu’elle était coincée, impossible de redescendre, le liquide nocif avait rongé toute la pièce. Elle passa néanmoins sa tête entre deux barre. Elle eut une explosion de joie. Qu’elle chance d’être un chat dans une pareille situation, si la tête passe, le corps aussi. Et c’est ce qu’elle fit, son corps s’étira un peu pour devenir plus fin. Elle sortit un bras, puis en se retournant elle eut la place de sortir le second et put s’extraire complètement. Sur le toit elle vit une multitude de personne dont ses adorables parents semeurs de troubles qui faisaient des bonds tellement ils étaient inquiets. La maison toute entière trembla et commença à s’effondrer. Zanoah sauta au milieu de tout ce petit monde et avec une roue se retrouva debout. Elle se retourna et regarda la villa où elle avait grandit.
– Mon dressing ! sanglota-t’elle.

Après avoir discuté avec son client toute la nuit. Maria sortit enfin de chez l'antiquaire, le soleil était déjà haut dans le ciel. Près avoir enfiler une paire de lunette noire, la jeune femme se dirigea ver l'ouest. Elle passa devant se qui autrefois avait été des magasin de luxe, ils n'en restaient que des ruines, la faute des terroriste du peuple comme suggérait la télévision...
Les bâtiments lui rappela sa rencontre avec cette fillette l'autre soir, cette petite chatte effronté lui avait clairement fait remarqué sa richesse.
Maria s'arrêta un peu plus loin, devant un supermarché, elle prit un peu de viande, quelques légumes et aussi un livre de cuisine.
Alors qu'elle se dirigeait pour rentrer chez elle, la créature de la nuit sentie une odeur de sang mêlé à celle de la rouille. Suivant ses instincts la jeune femme se retrouva devant un vieille entrepôt. L'odeur de sang se fit plus enivrante, Maria avait du mal à se contrôler...
Un bruit surgit de l'intérieur du batiment.

- Une proie, s'exclama Maria. Une proie qui m'appela.

La jeune femme pénétra alors dans l'ancien Usine. Elle se dirigea vers la bonne odeur qui venait de l'étage, là devant ses yeux un jeune homme qui avait été blésé à la jambe. Le sang qui se rependait sur le sol donnait à Maria une envie folle d'étriper le garçon avant de le vider de son essence de vie...
Alors qu'elle s'approchait lentement de sa proie, le jeune homme ouvrit les yeux et devant la beauté de la jeune femme celui-ci crue voir un ange....

- Suis-je déjà mort, Mademoiselle l'ange? Demanda l'homme

Le nom qu'il lui avait donné fit rire Maria, elle une assassin de renom et créature de la nuit avait été prise pour un ange. Elle n'arrivait plus à s'arrêter de rire. Elle en oublia même son envie de sang, c'était la premier fois qu'elle réussit cet exploit.

- Qui est tu et que fait tu ici. Questionna Maria intéressé par le jeune homme.
- Je m'appelle Zack Fair, j'ai été pourchassé par des hommes de la mafia, je me suis cacher ici, mais je me suis blesser et je ne peux plus repartir.

Maria examina rapidement la blessure de Zack. Elle lui fit un garrot de fortune et puis l'emmena dans l'hôpital le plus proche...

- Pourrais-je connaitre votre nom ?
- Maria, Maria Blood
- Ce fut et plaisir et encore merci.
- De rien

Cela faisait tellement longtemps que Maria n'avait pas discuté normalement avec quelqu'un... Quand elle sorti de l'hôpital il faisait nuit, la soif apparut et la jeune femme se lança à la poursuite de quelqu'un. De plus elle avait une mission à remplir.....

» Rp Clysia